Chronique
L’année dernière à Marienbad
Au « tu n’as rien vu à Hiroshima » négateur de son premier long métrage, Alain Resnais substitue un « souvenez-vous » pressant dans « L’Année dernière à Marienbad » qui se déroule comme un rébus métaphysique indéchiffrable situé dans les limbes et en marge d’un hors-temps improbable. Sublimement déroutant.